La tente qui échoua
Une lectrice me dit que cela fait longtemps que je n’ai pas publié d’histoire sur les objets.C’est vrai, j’ai été bien malade et le cerveau tellement dans la brume qu’il…
Une lectrice me dit que cela fait longtemps que je n’ai pas publié d’histoire sur les objets.C’est vrai, j’ai été bien malade et le cerveau tellement dans la brume qu’il…
Maudit 31 décembre ! C’est encore la faute à l’un de ces êtres à deux pattes, bizarres et sans vergogne. Un humain imbibé par je ne sais quel alcool, à qui je…
J’étais dans le noir depuis si longtemps. J’attendais patiemment de pouvoir exprimer tout mon potentiel. Douce et beaucoup trop sage, une main tentait furtivement de me découvrir, de me toucher,…
Je sens ma lumière diminuer. 24 h sur 24, j’enregistre tout ce qui passe devant moi. Des humains qui ne savent pas que je les observe. Des femmes, des enfants et des hommes qui vaquent à leurs occupations, le nez sur leur écran de téléphone. Parfois, ils lèvent les yeux, juste avant de trébucher ou de traverser la rue. Puis ils replongent illico dans leur monde virtuel.
Je ne suis pas au fond de la piscine en compagnie d’Isabelle Adjani, mais j’ai quand même touché le fond ! Tout ça à cause de l’indélicatesse, de l’incivilité crasse des humains, encore et toujours eux !
n’y a pas si longtemps, j’attendais patiemment sous un sapin, caché dans un carton et enveloppé dans un beau papier brillant. J’étais impatient de dévaler les rues atypiques de ce lieu encore inconnu que j’attendais de découvrir.
Alors que j’étais tranquillement au chaud, bichonnée et poncée par des mains vigoureuses et délicates, un son dramatique s’est produit. Un genre de craquement qu’aucune espèce en bois n’aimerait entendre : Crac !